Par Michel Smet
Amis, amies, apiculteurs(-trices),
Aurions-nous enfin été entendus? Serait-ce le début de la fin de l’utilisation des produits toxiques dispersés allégrement un peu partout dans le monde sur toutes les cultures?
De grâce, ne mettons pas la charrue devant les boeufs, mais il semble que ce que nous crions haut et fort depuis plus de dix ans commence à être entendu. J’en veux pour preuve l’article paru dans le journal « Le Soir » du 17 janvier dernier. Il dénonce l’inquiétude de nos élus sur les effets engendrés par l’utilisa tion des ces néonicotinoïdes sur une grande majorité des cul tures mondiales de toutes sortes. J’y apprends même qu’ils sont utilisés dans la culture des pois!
Il aura donc fallu plus de dix ans d’études, de contre-études, faites tantôt à gauche, tantôt à droite, et ce à grands coups de millions d’euros pour arriver à dire que toucher au système nerveux d’un individu, quel qu’il soit, c’est le condamner à une mort certaine, à plus ou moins brève échéance. Désolé, mais il ne faut pas être in génieur pour comprendre cela! Les apiculteurs un peu sensés ont compris cela il y a belle lurette!
Michel Smet
